Haiti : Valorisons les produits transformés locaux Posté le 3 juillet 2009
Le département Sciences et technologie des aliments (STA) de la Faculté d’agronomie et de médecine vétérinaire (FAMV) de l’Université d’Etat d’Haïti a organisé aujourd’hui une journée scientifique sur des produits agricoles transformés en Haïti.
Vins, nectars, rhums et liqueurs de fruits divers, pains de manioc, jambons, fruits séchés, produits lactés… sont entres autres les principaux produits transformés présentés par les étudiants et autres exposants venus de Jacmel et de Port-au-Prince.
L’objectif de cette activité est, a défini Harold Corantin, directeur du département de STA, de vulgariser les technologies développées au département. Leur mission à la STA, n’est pas de vendre. En ce sens, les étudiants travaillent avec des paysans comme des industriels pour que ces-derniers créent des richesses nécessaires au pays.
"Pour que le pays se développe, il faut que l’agro-industrie fonctionne" a corroboré Bernard Amétel, étudiant finissant en STA et membre organisateur de la journée scientifique, qui a pris en exemple le cas du Brésil. Le pays, malgré ce qu’on dit, produit, soutient-il. Mais, il y a plus de 40% de perte post-récolte, déplore-t-il.
Les étudiants ont aussi honoré, au cours de la deuxième édition de la journée scientifique, des personnalités qui ont contribué à la mise sur pied de ce département en 2003 au sein de la FAMV. Il s’agit de leur ancien doyen, M. Jacques E. Alexis, de leur actuel doyen, Jacques Blaise et du premier directeur du département STA, M. Kednal Alexis.
Le programme en technologie alimentaire de la STA vise à orienter les ingénieurs agronomes dans la protection post-récolte des denrées, la possibilité d’appliquer les sciences fondamentales et appliqués à la recherche de solutions au niveau de la transformation, la conservation et le conditionnement des produits, mais aussi au niveau de l’amélioration de la diète des consommateurs et du contrôle de qualité des aliments.
La deuxième édition de la journée scientifique aurait pu être plus grandiose se sont plaint les étudiants, mais ils n’ont eu le support que du Rectorat de l’UEH à hauteur de 150 mille gourdes, nous ont-ils confié.
MJB/HPN
Le département Sciences et technologie des aliments (STA) de la Faculté d’agronomie et de médecine vétérinaire (FAMV) de l’Université d’Etat d’Haïti a organisé aujourd’hui une journée scientifique sur des produits agricoles transformés en Haïti.
Vins, nectars, rhums et liqueurs de fruits divers, pains de manioc, jambons, fruits séchés, produits lactés… sont entres autres les principaux produits transformés présentés par les étudiants et autres exposants venus de Jacmel et de Port-au-Prince.
L’objectif de cette activité est, a défini Harold Corantin, directeur du département de STA, de vulgariser les technologies développées au département. Leur mission à la STA, n’est pas de vendre. En ce sens, les étudiants travaillent avec des paysans comme des industriels pour que ces-derniers créent des richesses nécessaires au pays.
"Pour que le pays se développe, il faut que l’agro-industrie fonctionne" a corroboré Bernard Amétel, étudiant finissant en STA et membre organisateur de la journée scientifique, qui a pris en exemple le cas du Brésil. Le pays, malgré ce qu’on dit, produit, soutient-il. Mais, il y a plus de 40% de perte post-récolte, déplore-t-il.
Les étudiants ont aussi honoré, au cours de la deuxième édition de la journée scientifique, des personnalités qui ont contribué à la mise sur pied de ce département en 2003 au sein de la FAMV. Il s’agit de leur ancien doyen, M. Jacques E. Alexis, de leur actuel doyen, Jacques Blaise et du premier directeur du département STA, M. Kednal Alexis.
Le programme en technologie alimentaire de la STA vise à orienter les ingénieurs agronomes dans la protection post-récolte des denrées, la possibilité d’appliquer les sciences fondamentales et appliqués à la recherche de solutions au niveau de la transformation, la conservation et le conditionnement des produits, mais aussi au niveau de l’amélioration de la diète des consommateurs et du contrôle de qualité des aliments.
La deuxième édition de la journée scientifique aurait pu être plus grandiose se sont plaint les étudiants, mais ils n’ont eu le support que du Rectorat de l’UEH à hauteur de 150 mille gourdes, nous ont-ils confié.
MJB/HPN
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